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05/08/2010

Berlioz à Plombières


BERLIOZ
1803-1869 - Compositeur

C’est à Plombières dont les eaux lui font le plus grand bien que le célèbre musicien romantique compose, en 1857, sous les arbres de la Fontaine Stanislas, les plus belles pages de son opéra « les Troyens ».



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Fulton à Plombières


FULTON
1765-1815 - Inventeur
L’ingénieur américain qui imagina d’utiliser la force de la vapeur pour la navigation fit l’essai, sur un bras aménagé de l’Augronne, en 1803, devant Joséphine de Beauharnais, d’un bateau mu par une roue à aubes.



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Avrò cura di te



"[...]
Supererò le correnti gravitazionali,
lo spazio e la luce
per non farti invecchiare.

E guarirai da tutte le malattie,
perché sei un essere speciale,
ed io, avrò cura di te.

[...]"
Franco Battiato, la cura, 1996

(je dépasserai les courants gravitationnels,
l'espace et la lumière
pour ne pas te faire vieillir.

Et tu guériras de toutes les maladies,
parce que tu es un être spécial,
et moi, je prendrai soin de toi.)



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Almanach du jardinier

"Quand l'août est bon,
Abondance à la maison"


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Hygiène de l'âme

Le bonheur est un état de sérénité intérieure qui réside dans la coexistence nécessaire de deux ordres de faits: l'accomplissement de nos obligations morales et l'équilibre de nos fonctions physiques - la paix de la conscience et le bien-être corporel.
LES MAUVAISES PASSIONS DETRUISENT LA SANTE, ABREGENT L'EXISTENCE ET SOUVENT CONDUISENT AU CRIME, SI ON NE LES MODERE PAS, SI ON NE S'EN REND PAS MAITRE.
Les passions sont comme les plaies intérieures parfois héréditaires, le plus souvent accidentelles, qui irritent d'autant plus qu'on y porte plus souvent la main. Elles sont, en partie du moins, le produit de l'habitude.
Dés le plus jeune âge, l'enfant montre ses aptitudes, ses penchants, ses mauvais instincts et, de même qu'il est très facile de redresser une jeune plante qui prend une position vicieuse, de même il est très aisé aux parents de diriger leurs enfants dans le droit chemin et de les ramener si leurs penchants mauvais les en écartent.
(LE MEDECIN des PAUVRES, PAR LE DOCTEUR BEAUVILLARD, 1925)


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